Marsa Nakari l’authentique très loin des foules…

Les plongeurs métropolitains ont pris l’habitude d’aller régulièrement tremper leurs palmes en mer Rouge. À force d’y aller systématiquement une à deux fois par an, certains finissent par mieux connaître cette dernière que notre littoral qu’ils délaissent car plus difficile à appréhender quand l’œil n’est pas suffisamment éduqué. Le revers de la médaille est une sorte de banalisation des rencontres avec les poissons multicolores mais communs. Alors, nombreux sont ceux qui recherchent des sensations et la rencontre avec le « gros » : requins, raies mantas, dauphins… Une seule solution, aller toujours plus au large et partir en croisière. Pour les sujets au mal de mer, c’est le calvaire, pour les amateurs de farniente et de plongées pépères, ce n’est pas forcément non plus toujours le bon rendez-vous. Alors, pourquoi ne pas jouer la carte des plongées partant du bord sans aller trop loin ? Par Jacques Dumas.
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