France & Djibouti : une communauté de partage

Jeune artiste djiboutienne et plongeuse assidue, Migane Megg nous propose ici quelques-uns de ses clichés qui en disent long sur l’amour qu’elle porte à son pays.
Jeune artiste djiboutienne et plongeuse assidue, Migane Megg nous propose ici quelques-uns de ses clichés qui en disent long sur l’amour qu’elle porte à son pays.
Les lectrices et lecteurs de Subaqua ont régulièrement des nouvelles de Djibouti, tant ce pays, niché au creux de la corne de l’Afrique, accueille avec fidélité les plongeuses et plongeurs de la fédération.
Depuis fort longtemps, les clubs relevant des forces armées françaises, le Héron et le Musha club pour les connaisseurs, font appel aux instructeurs de la FFESSM pour mettre en place des formations et examens de niveaux 4, d’initiateurs, de MF1 ou encore de TIV. C’est ainsi que, au fil des années, de solides amitiés sont nées entre les militaires et les formateurs envoyés par la commission technique nationale.
Plus récemment, un club civil a vu le jour, le club du Lagon bleu. Installée sur les îles Musha, cette structure créée à l’origine par Luc Poirier il y a quelques années est désormais 100 % djiboutienne et propose de magnifiques sorties vers les spots de plongée locaux.
Enfin, au fil des années, des liens se sont tissés entre le président Jean-Louis Blanchard et les autorités djiboutiennes.
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